" Cause you were Romeo, I was a scarlet letter, And my daddy said « stay away from Juliet » "
❝ • Surnom(s) ❝ E. ❝ • âge ❝ 37 ans, 17 physiquement ❝ • date & lieu de naissance ❝ 9 août 1977, Philadelphie ❝ • origines ❝ Américaine ❝ • groupe ❝ l'hiver n'est pour moi qu'un mot ❝ • métier ou études ❝ 1ère année de fac de science. ❝ • tes défauts ❝ Têtue – Indécise – Distante – Manipulatrice – Possessive ❝ • tes qualités ❝ Persévérante – Posée – Douce – Compréhensive – Protectrice ❝ • ton statut social ❝ Etudiante et Célibataire ❝ • ton pouvoir ❞ Aucun ❝ • avatar ❝
Anne-Marie Van Dijk
ASSIEDS TOI ET RETIRE TON MASQUE
Tu dois obligatoirement avoir quelques passions... ou dégoûts. Serais tu apte à tous nous les confier sans en dissimuler?
Dans la vie, on a tous des passions. Et moi, sombre inconnu, je ne fais pas exception à cette grande règle. J'ai une passion, une passion dévorante, une passion fascinante. Et non, ma passion n'est pas un homme dont je suis amoureuse, ni une femme, sombre et un peu idiot inconnu. Non non non. Ma passion, celle qui me prend au coeur, qui me fait serrer les poings et les dents, celle qui me donne des revendications, c'est la musique. La musique, douce en tendre mélodie qui s'élève dans les ais pour venir combler un vide à l'intérieur et ravir nos oreilles. Depuis que je suis toute petite, mais vraiment petite même minuscule, j'aime la musique. Dès que j'en eu l'âge je fus inscrite à un cours de musique. J'ai appris à jouer du piano mais surtout de la guitare. La guitare... Hum je peux passer des heures à en jouer chantonnant les paroles, fredonnant l'air que je gratte sur les cordes. Je prend soin de mon instrument, le nettoyant, l'accordant régulièrement. En fait, je l'accorde à l'oreille à chaque fois que j'ai envie d'en jouer. Je me souviens encore de ma première guitare, un petit bijou. J'ai du en avoir trois ou quatre autre depuis et en ce moment j'en ai deux. Une guitare classique et une autre non, les deux en ois. Je joue plus de la première et je garde l'autre comme une sorte d'objet de collection. Bref, tu as du comprendre : pour moi dans la vie, y a la famille, la musique et ma guitare. Mais il n'y a pas que cela que j'aime bien entendu : j'aime aussi les bons films. Qu'est-ce que j'adore le cinéma en fait ! Passer une bonne après-midi dans ma tête c'est un ciné avec pleins de pop-corn. Mais bon, je me contenterais d'une soirée en famille devant en bon film parce que ce sera en famille. J'aime aussi le chocolat, la lecture, aller chez le disquaire, refaire ma chambre, acheter les cadeaux d'anniversaire, parier avec mon cousins, parler des heures avec ma cousine. Y a autre chose que j'aime bien faire c'est du shopping. Bon impossible d'y trainer mon père, mon oncle ou mon cousin mais Amélia et Eleonor se prêtent au jeu avec plaisir. Je me souviendrais toujours du jour où on est allées acheter ma robe pour mon premier bal de promos. On s'était tant amusée toutes les trois et j'étais revenue avec une tenue magnifique ! Si non il y a toutes les choses que je n'aime pas : les gens qui mentent, les imbéciles dans la rue, faire mes devoirs, les émissions télévisée nulle, les dimanche soirs, les lundi matin, les brocolis... Sans parler des déménagements ! C'est un peu ma hantise ce truc. Je déteste ça ! Ok j'aime bien refaire ma chambre mais je n'aime pas pour au tant changer de chambre, de ville, de groupe d'amis... Raaah j'aiiiiime pas ça ! C'est encore pire qu'une guitare dont une corde te lâche quand tu en as pas en réserve. Parce que dans ce cas là j'ai juste à aller en acheter une autre. C'est assez ? Parce que je peux encore faire une liste. J'aime me promener dehors la nuits mais je n'aime pas ce qu'on appelle les créatures de la nuit. J'aime regarder les match de sport divers à la télé mais je n'aime généralement pas ces sports. J'aime le petit-déjeuner le matin mais j'aime pas devoir me lever et sortir de mon lit...
On ne peut avancer dans la vie sans avoir de buts. Quel est le tien, voir quels sont si plusieurs se sont dessinés dans ton esprit?
Je n'ai pas vraiment de but particulier. Je ne suis pas née en me disant que plus tard je serais médecin ou un truc du genre. D'ailleurs quand j'étais enfant je changeais d'avis sur le métier que je ferais plus tard comme de chemise. Nos nombreux déménagements et changement de travail des adultes ont fait que je ne sais pas vraiment me poser sur le point de vue professionnel. Mais il n'y a pas que ça dans la vie qui donne des but non ? On peut vouloir épouser le prince charmant, obtenir un A à notre prochain contrôle mais si j'appelle pas ça le but de sa vie. On peut vouloir partir à l'étranger, rencontrer quelqu'un de célèbre, ou dire une phrase qui deviendra très connue. Moi je n'ai pas ses buts là. Je ne dis pas que je serais contre sortir un album par exemple mais je sais que je ne pourrais pas avec mon mode de vie. Alors bien sur comme on dit « si tu peux l'imaginer, tu peux le réaliser, ton rêve » mais je préfère ne pas réaliser mon rêve d'être une artiste et vivre éternellement avec les miens. Et en soin c'est peut être mon but dans la vie : rester avec eux pour toujours et en pas les décevoir ? Enfin je ne crois pas que l'on puisse appeler ça un but. Et puis comme tout le monde j'ai des buts passagers... Je vais avoir pour but de me trouver un travail pour payer mes études de mon labeur. Ou de trouver un cadeau d'anniversaire encore mieux que celui de l'année d'avant pour mon père. Pleins de petites chose comme ça qui construisent notre quotidien en y repensant bien. Ce sont des buts, on les atteint facilement mais qui a dit qu'on ne devait que faire des choses compliquées ? Ce n'est pas une grande gloire mais il n'y a pas de petit profit non ? J'ai déjà eu des buts. Par exemple quand j'avais encore seize ans, c'est un peu loin je sais, j'avais pour but de percer à jour le secret de ma famille. Cela m'obsédait tellement que je n'en dormais plus la nuit. Et puis un jour j'en ai parlé avec mon père tout simplement. Qu'est-ce qui m'empêche de trouver paisiblement le sommeil maintenant ? Les mauvais rêves cela compte ? J'ai pour but de me débarrasser de mes mauvais rêves ? Bon je pourrais trouver plus classe comme trouver un vaccin contre le sida mais c'est pas mon tripe les recherches de laboratoire. Il y a ma mère aussi... Je rêve de récupérer mes quelques souvenirs d'elle mais je veux les souvenirs heureux pas les souvenirs de cette terrible nuit où on me l'a enlevé. J'aimerais la venger mais cela ne fait pas ma vie non ? Qu'est-ce que je pourrais bien avoir comme but qui serait bien ? M'en trouver un tout simplement ? Voilà : mon but dans la vie est de trouver ce qu'il est justement.
La lune trace deux voies sur la terre meuble. Où va ta préférence? A la voie la plus éclairée, et donc plus aisée à prendre, ou à celle plus sombre et plus dangereuse?
Bon, commençons par mettre les choses au clair. Quand il s'agit de la lumière de l'astre lunaire, bah en fait il s'agit pas vraiment de moi mais du loup qui sommeil dans mon corps en attendant que son amante blonde et ronde l'appelle. Fin plutôt de la louve qui attend... son amie ? Breeeeef, je n'ai aucune idée de ce que le loup ferait de ce cas là. Je crois qu'il choisirait pour chasser seule plus sombre qu'on ne puisse le voir et si non le plus éclairé pour regarder la Lune à son zénith. Mais je me doute que tu te moques de cela sombre inconnu. Alors, cette question serait une métaphore destinée à nous demandé si on est plus enclin à parcourir les chemins ardus ou à rester dans le calme d'un sentier bien tracé ? Nous demandé si on dit simple ou si l'on dit compliqué ? Et bien, que répondre ? Il est clair pour moi que cette réponse ne peut être simple justement. Après tout dépend de la situation dans laquelle on se trouve non ? Si on veut faire des courses rapides parce que l'on a des invités surprises je crois que je serais plus du genre à choisir le côté simple. Mais s'il faut choisir la tenue que l'on portera... bah là j'ai pas de réponse en fait. Bah oui, j'aime les trucs simples vestimentaire comme un jean et un pull bien confortable mais j'aime aussi les empilement compliqué de tissus qui rendent l'habit original... bref, je pencherais pour compliquer rien que pour mon indécision sur la bonne réponse me concernant. Mais ce n'est pas simple de choisir qui l'on est vois-tu. Je suis comme ça et parfois même moi ne comprend pas la personne que je suis. C'est l'humain. Donc je suis plutôt du genre à choisir le chemin peu éclairé. J'aime envisager toutes les possibilité et quand l'effort est simple le courage est bien mince.
DANS UN MONDE DIFFERENT
❝• Pseudo ♦ Lilyce •❝ ❝ • Age ♦ 15 ans•❝ ❝ • Ton avis sur le forum ♦ J'adoooooore •❝ ❝• Où nous as tu trouvé? ♦ Par Venezia d'amour •❝
❝• Quel est ton niveau rp? ♦ 7/10 ? •❝ ❝ • Fréquence de tes visites ♦ Tous les jours •❝ ❝• Code ♦ okay by Alec •❝ ❝• Un exemple de rp (spoiler en dessous )•❝
Spoiler:
Il y a parfois des souvenirs qui font mal. Des souvenirs qui vous prennent au trip, qui font se serrer votre coeur, des souvenirs qui font monter les larmes à vos yeux... Des souvenirs qui vous coupent la respiration, qui vous empêchent de déglutir, des souvenirs qui vous donne envie de renifler bruyamment. Ces souvenirs ne sont pas forcément tristes pour au tant... Ils peuvent l'être comme ils peuvent être heureux mais ses pleures, cette sensation qui nous prend quand on y repense, est de la tristesse. Finalement ce sont peut être quand ils sont joyeux qu'ils font le plus mal et que cette tristesse est la plus forte, la plus envahissante. Une tristesse profonde, accompagnée d'une certaine nostalgie et parfois pour certains de regrets, une tristesse qui nous envahit sans y être invitée, une tristesse qui nous déconnecte du monde environnant. De la tristesse à l'état pure pour nous mettre sans dessus dessous car c'est bien ce qu'elle fait à chaque fois. Ce sont des souvenirs qui ont fait de nous ce que l'on est, des souvenirs qui font que l'on est même. Ces souvenirs auxquels on tient comme il n'est pas permis. Ces souvenirs auxquels on aimerait, parfois, penser moins souvent pour avoir moins mal... Ces souvenirs... Mais si je ne pensais à CES souvenirs ci auxquels pourrais-je donc penser ? Aux souvenirs des cent dernières années ? De ces cents tristes dernières années parce qu'au fond ça avait bien était les cent plus tristes années de mes neuf cent huit années vampiriques. Neuf cent huit... Ce chiffe, non nombre, n'était pas négligeable. Je ne connaissais que peu de vampires pouvant prétendre être plus âgé que moi. Il y avait mes deux soeur, la troisième n'étant plus des notres, et des Volturi. D'autres je n'en avais aucune idée. Mais cela je m'en fichais bien ! Pour moi c'était surtout neuf cent huit années de souvenirs, neuf ans huit années plus ou moins douloureuse. Il y avait eu ma première année, celle où je me contrôlais à peine, l'année de mon sevrage au sang animal. Ou encore celle où Eleazar et Carmen nous avaient rejoins. Je les aimais beaucoup tous les deux. Carmen était ma douceur de vivre, mon sourire, ma tendresse... Pas que je sois une sauvage sans sa présence. Et Eleazar était surement l'une des personnes qui me comprenaient le mieux. Nous étions solitaire au même égard et pourtant quand j'étais avec lui, j'étais à la fois seule mais avec quelqu'un. La première année de Carlisle, au moment où il venait nous voir une fois tous les deux mois si ce n'est encore plus souvent. Le temps que j'avais passé seule avec Carlisle et Edward quand celui ci était presque encore un nouveau né. Et surtout ces dix années là bas avec Lui...
J'entendis quelqu'un frapper à ma porte. Je savais déjà que c'était Milie alors je chassais d'un geste de la main mes pensées. Elle n'avait pas à entendre tout cela, il y avait encore beaucoup de choses que je ne lui avais pas dit et que je ne lui dirais pas pour le moment. J'avais besoin de temps pour parler de cela alors même si je savais que je pouvais lui faire confiance. Je n'avais parler à personnes des dix années en question et de ce qu'elles signifiaient pour moi. J'avais besoin de temps pour les admettre et surtout pour me dire que j'avais le droit de les partager avec quelqu'un. Je soupirais, là elle pouvait m'entendre. Youyou, Lirose réfléchit parfois avant de penser. Là c'était con. Je comprenais pourquoi Edward disait que c'était drôle d'être dans ma tête parfois. Je me serais limite fait rire si ce n'était pas aussi désespérant que ça. Bref, je traversais mon loft. Il était pas très grande et j'étais vampire. Ce que l'on peut traduire par le fait que cette action ne me prit vraiment pas longtemps. J'ouvris à Milie et lui demandais comment elle allait. Elle dit que ça pouvait aller mais à en voir les larmes écrasées sur ses joues, elle mentait. Milie n'était pas très bonne menteuse, du moins avec moi. Je me doutais que son père saurait toute la vérité sur les activités diverses et autres de sa fille, il trouverait qu'elle ment très très bien mais moi j'étais sa meilleure amie et non son père donc la situation était différente. De toute façon, par une logique exceptionnelle étant quelqu'un de sexe féminin je ne pouvais pas être son père. Ne me répondez pas que j'aurais pu être sa mère. J'étais maintenant stérile. Stérile depuis neuf cent huit ans, stérile depuis que j'étais une vampire. Au moins j'étais sure que je n'avais pas d'enfant surtout si on prenait le fait que... Non stop ! Ma meilleure amie a accès total à mes pensées alors on arrête là. Elle a beau semblait plus vieille elle n'a pas encore cinq ans alors si je pouvais éviter de penser à ce genre de chose en sa présence. Je me concentrais sur elle. A en voir la tête qu'elle faisait, je devais avoir légèrement oublier de mettre quelque chose par dessus mes sous-vêtements en dentelle noire. Tant pis ! Milie est une fille, Milie est ma meilleure amie : elle m'avait déjà vu dans de pareille tenue. Et inversement, bien que les sous-vêtements de mon amie étaient moins... moins indécents. Enfin si les miens passaient mais il fallait porter quelque chose par dessus normalement. Que les siens même sans rien par dessus c'était déjà beaucoup mieux ! Puis Milie ne sortait pas en sous-vêtements. Moi non... enfin maintenant je ne sortais plus dans de pareilles tenues...
Je l'invitais à me rejoindre en haut. Je comparais mon dressing à celui d'Alice en précisant bien qu'il était plus petit. En fait, je me demandais même si c'était possible d'en avoir un plus grand. La dressing seul d'Alice devait être plus grand que mon loft en entier alors bon... Mais il était vrai que même si était très grand mon dressing ne contenait pas toutes mes tenues. Une bonne partie étaient encore dans des cartons, comme celui que j'avais ouvert à il y a peu de temps et une bonne autre quantité était restée à Denali le jour de mon départ. A vrai dire, ce jour là je n'avais pris que quelques tenues pour faire la route alors il manquait une grande quantité de tenue à ma garde robe. Mais bon j'avais pris des croquis en grande quantité pour pouvoir me refaire une garde robe avec des tenues de toute époque. Et il y avait aussi le fait que je ne pouvais pas transporter toutes mes tenues dans mes voyages. J'étais donc obligée de faire un tri avant chaque départ, de dessiner rapidement sur du papier celle que je voulais pourvoir racheter ou refaire mais dont je devais me débarrasser et quand j'arrivais dans une nouvelle ville je m'acheter de nouveau habits. Enfin j'avais pas acheter grand chose à Fort Smith mais Hay River n'était pas très loin et Edmonton non plus donc ça allait. J'attrapais un short noir, tout simple mais carrément pratique, que j'enfilais sur ma culotte pour la décence seulement. J'avais été très décente à une époque. Quand j'étais humaine... Enfin non pas qu'à cette époque ci, dont je ne gardais que très peu de souvenir. Y a eu aussi l'époque où je ne pouvais pas mettre mes robes toute seule et que du coup, j'étais capable de les garder trois jours de suite avant de me décider à changer. En plus cette époque là, moyen moyen les sous-vêtements. Mais si non j'avais toujours aimé les tenues pour ainsi dire courtes ! Enfin vous voyez le genre... Mais jamais nue, non j'aimais pas me promener nue. Là c'était trop. Elle me dit qu'elle avait eu sa dose d'essayage pour la journée et je fronçais les sourcils.
- Je suis pas Alice mais je pourrais tout de même trouver cela vexant.
Je ponctuais mes paroles d'un clin d'oeil et d'un tirage de langue. Le principale problème de Milie à mes yeux était qu'elle s'habillait beaucoup trop comme un garçon. Non en fait, elle s'habillait comme un garçon pas comme une fille qui a un style garçon manqué. A mon époque, celle humain s'entend ou celle où j'avais son âge, j'aurais pas pu faire cela... Bah oui, déjà que les hommes n'avaient pas de pantalon alors les femmes... Non je rigoles, je ne suis pas née à la pré-histoire ou à l'antiquité non plus. Mais si les hommes avaient des pantalon les femmes, il était hors de question qu'elles puissent seulement imaginer en porter. Mais Milie ne vivait pas en l'an mille quelque chose ! Elle avait tous les droits de s'habiller en mec elle, même si avec un corps pareil c'était du gachi. De ce côté-ci Alice et moi étions bien d'accord : il fallait refaire sa garde robe ! Non mais oh ! C'était une jeune fille, super jolie et d'une grâce naturelle au possible... Alors si elle se décidait enfin à s'habiller comme une fille, elle serait totalement... magnifique. Et encore, que dis-je comme une fille ? Pas la peine d'être vraiment féminine avec des jupes, des robes et autres... Simplement des jeans de filles, moulants si possible pour souligner sa silhouette si féminine, des chemisier, des petits t-shirt sympathiques... Un jour, je forcerais Milie à faire du shopping avec moi et quand je la rendrais à son père et à sa mère ils ne la reconnaitrais plus du tout. Enfin, je pourrais même emmener sa mère avec nous histoire qu'elle me rappelle où se trouve la décence et que je n'ai pas à tenir compte des remarques de ma meilleure amie sur cela. Bah oui parce que vu ma notion de la décence... Enfin, je restais un professeur de lycée et jamais encore on m'avait fait remarquer que ce que je mettais pour aller enseigner n'était pas admissible. Dooooonc, c'était que je devais tout de même avoir des instinct qui faisait que j'étais capable de m'habiller correctement. Il faut dire que vu les époques que j'avais traversé, je devais obligatoirement avoir des petites, ne seraient-ce que minuscules, notion là dessus.
Enfin non ! La réponse de Milie venait de me le prouver. Des trucs pour plaire aux hommes... C'était pas totalement faux à vrai dire. Vu que les tenues en question étaient les tenues que je mettais quand je dansais dans les cabarets avant, elles devaient plaire aux hommes normalement. Non ? Enfin cela me paraissait normale même si je ne les avais jamais mise pour plaire aux hommes. Cela doit semblait stupide et improbable mais c'était la stricte vérité. Je m'en moquais bien de plaire aux hommes. De toute façon mon corps, même dans un sac à patate comme dit l'expression, alimenté par mon côté vampire, plaisait aux hommes alors je n'aurais pas eu besoin de ce genre de tenues pour les faire céder. Et puis, ce genre de tenus sur n'importe qui plaisait aux hommes, comme quoi ils ne sont pas bien difficiles les coco. Non ce n'était pas là l'intérêt des tenues. Leur seul intérêt étaient qu'elles n'avaient permis de faire quelque chose qui me plaisait beaucoup quand je le faisait et qui me plaisait encore maintenant bien que j'ai arrêté : danser. J'aimais danser comme ce n'était pas permis... J'avais toujours aimé danser au point que certains disaient que je ne marchais pas mais que je dansais pour avancer. Ce n'était pas totalement faux. Mais j'aimais danser de façon... disons... engageante pour la gente masculine. Et le cabaret était l'endroit parfait pour cela. Je faisais sensation à l'époque et dire que je me moquais de tout cela... J'avais du en déprimer plus d'une. Plaire aux hommes... Le seul homme à qui j'avais réellement voulu plaire je n'avais pas eu besoin de cela pour qu'il m'aime. Même si ça m'avait pas... STOOOOP ! Je me faisais plus de mal qu'autre chose là en pensant à ça.
Il ne s'était écouler que quelque secondes, même moins, une à peine depuis que Milie avait dit que j'avais de quoi plaire aux hommes comme tenues... Ce qu'elle dit juste après me prouva que l'on était d'accord sur un point niveau fringue : Alice en avait bien plus que moi. En fait je pense que l'on peut prendre ma garde robe, celle de Milie, celle de Renie, en fait elle s'appelle Renesmée et c'est la mère de Milie ainsi que mon amie, celle de Isabella, la mère de Renie ainsi que ma collègue de Bio et surtout l'épouse de mon Edward, celle de Rosalie une de mes cousines et enfin celle de Lily la fille de Rosalie. On peut donc prendre toutes ses gardes robes et les additionner ce n'est pas sur que cela donne une plus grosse quantité de vêtements que celle d'Alice. Il faut dire que celle Milie pèse pas bien gros dans la balance, de même que celle de Isabella. Leur garde robe n'était pas très grande, à l'une comme à l'autre, et manquaient considérablement de variété. C'était comme si on les avait désarticulées. Hop, une articulation ici et un style de plus. Comment ça cela veut rien dire ? Pour moi, une articulation en mode c'est le truc qui nous fait passer d'un style à l'autre. Et comme les leur sont totalement désarticulées cela veut dire qu'elles n'ont qu'un seul style. Enfin surtout Milie. Isabella a des tenues un peu plus vairée mais ça fait pas « bésef » non plus. Mais cela n'est pas ne le sujet ? Quel est donc le sujet de cette dissertation mental ? Je crois que je comprend encore plus ce qu'Edward veut dire là... Revenons en à nos moutons, le mouton c'est fade comme sang, c'est à dire à ce que me disait Milie. Et la phrase d'après me fit encore plus sourire. Alice avait vraiment de bonnes idées parfois ! Bon bien entendu, je n'allais pas le dire à Milie à voix haute que j'approuvais même si elle allait le savoir puisque je venais de le penser. C'était à ce propos assez pénible par moment de vivre dans une famille avec deux personnes qui peuvent lire dans vos pensées. Déjà parce que vous avez l'impression d'être surveiller en permanence, ensuite parce que tenir une discussion dans ces conditions c'est vraiment bizarre et enfin parce que l'on prend peur pour nos secrets. Enfin de ce côté ci je craignais plus Edward que Milie. Milie était ma meilleure amie je savais qu'elle ne dirait rien et que si elle apprenait celui pour lequel j'avais le plus peur, elle serait simplement curieuse et heureuse pour moi. Mais Edward... Déjà il était pas dit qu'il en parle à personne et ensuite il était clair qu'il n'aurait pas la même réaction. Je le voyais plus s'indigner que « j'ai fait cela », m'en voulait, me demander de choisir, « d'arrêter »... Comme si il avait fait de meilleure choix lui !
Puis elle dit autre chose qui attira réellement mon attention pour le coup. Chris avait sauver de ses affaires... Cela n'était pas vraiment étonnant pour le coup. Il paraissait que Chris courtisait Milie depuis qu'il était entré dans la famille. En tous les cas il la courtisait depuis que mes pas m'avaient conduit à Fost Smith. D'ailleurs, il en était par là la preuve du fait que Milie était réellement belle, au même égard que Jesse ce qui ne plaisait que moyennement au vampire. Pour moi c'était à Milie de choisir. Personne n'avait le droit de forcer son choix, de le faire à sa place. J'espérais juste que notre famille en avait conscience que ce soit pour Milie, pour Chris aussi, ou pour n'importe qui d'autre. La majorité était déjà en couple mais il y avait toujours le cas Milie-Chris, oui Lily qui était célibataire sans oublier Matthew le frère de Milie. Et qui sait de mon côté de la famille il y avait peut être d'autre célibataire. Moi... Enfin non j'étais pas célibataire contrairement à ce qu'il croyait mais le jour où ils l'apprendraient il serait bien qu'ils se souviennent que c'était à moi de choisir, et même que je n'avais pas à choisir entre eux et lui. Que je n'avais pas à choisir entre ma famille et... Lirose ! Arrête de penser à ça. De toute façon, il est loin maintenant... En tout cs, dommage pour ma petite Milie, le « amo » qui devait surement dire « amoureux » n'allait pas passer comme une lettre à la poste. D'ailleurs elle dut s'en rendre compte puisqu'elle ne finit pas sa phrase et elle eut cet air de réflexion cachée mais mal cachée. Au dernières nouvelles que j'avais eu Chris était un imbécile qui ne savait pas à quoi y jouer. Il ne me fut donc pas dur de comprendre qu'il s'était passé quelque chose depuis la dernière fois que j'avais vu ma meilleure amie. Quelque chose mais quoi . Avait-elle seulement comprit que Chris était réellement amoureux d'elle ? Parce que bon, je comprenais pas qu'elle ne s'en soit pas rendu compte plus tôt. Pour moi cela se voyait comme on voit le nez au milieu d'un visage. Et étant une artiste je ne pouvais pas nier que le nez au milieu de la figure ce voyait mais surtout qu'il orchestrait les traits du visage avec cela.
Son regard fuit le mien et je levais les yeux au ciel. Que me cachais-tu ma Milie ? Bah oui, tu me caches quelque chose pour être ainsi. Je commence à te connaître comme ma poche maintenant alors que moi je ne peux pas savoir la moindre de tes intimes pensées. Comment ça je n'aime pas l'idée que tu connaisses les miennes ? Non mais là n'est ni la question ni le sujet en cours... Qu'est-ce qu'il s'était donc passé pour qu'elle réagisse ainsi ? Je levais les yeux au ciel. Milie ne croyait tout de même pas s'en sortir comme ça ? Un sortilège vaudou aurait eu plus d'efficacité et je ne crois pas à la magie vaudou. Non mais je trouvais ça drôle ma la magie vaudou avant, cela me faisait rire. La magie vaudou... Je ne croyais pas à la magie, comme je ne croyais pas en Dieu. Oh bien entendu, ayant moi même un don cela peut paraître étrange mais disons que je planche plus sur l'évolution de l'espèce que sur une des deux autres hypothèse. Dieu... Quel Dieu serait-il pour laisser ses créations dans de pareils souffrances que celles que peuvent rencontrer les humains... Quant au vaudou je ne préférais même pas en parler... Toujours était-il que pendant que je dérivais mentalement, elle ne me donnais toujours pas les explications que je lui avais mentalement demandé... Et cocotte tu vas parler ! Ooooh elle m'a entendu. On ne se demande pas comment d'ailleurs puisque Milie a libre accès à mes pensées. D'ailleurs vu comment je suis partie en live à plusieurs reprise, elle devait avoir bien rigolé intérieurement. Ou si non ça allait être les questions... Réponse numéro un, elle avait bien rigolé. En plus, je n'avais même pas besoin d'ouvrir la bouche pour lui donner des mauvaises idées... Mais passons et revenons à ce qu'elle venait de me dire. Petite Milie essaye de se rattraper aux branches, que c'est mignon. Je levais les yeux au ciel. Le bal... Mon regard dériva sur la robe encore étalée en plein milieu de mon dressing. Je crois que j'avais déjà trouvé ma tenue pour ce fameux bal. Ah moins que je mette celle que j'avais portait cent an tout pli au pars avant... Hum, je demanderais son avis à Milie. En parlant de Milie, je m'avançais jusqu'à elle et m'accroupissais. Bon allez Lirose !
- Tu mens aussi bien que mon Dou...
Que mon Douglas... Je soupirais. Elle ne savait pas qui était Douglas et tant mieux au fond. Même si il ne savait pas mentir. Enfin, non ! Il ne savait pas me mentir, il était obligé de me dire la vérité. C'était plus fort que lui et je ne savais pas non plus lui mentir. Mais je ne doutais pas que si non, mentir devait être dans ses cordes. Toujours était-il que là je ne devais pas penser à cela mais à Milie. Je lui relevais doucement la tête pour qu'elle me regarde dans les yeux. Elle pouvait fuir mon regard au tant qu'elle voulait c'était ma meilleure amie alors je savais ce que le sien contenait. Petit privilège de meilleure amie. Mais bon là c'était autre chose que je voulais savoir.
- Chris n'est pas un imbécile et tu le sais. Qu'est-ce qu'il s'est passé entre vous deux ma chérie ?
Je la forçais doucement à regarder vers moi. Je voulais vraiment savoir ce qui avait mis ma meilleure amie dans cet état. Non ce n'est pas que je suis curieuse. Simplement que je m'inquiétais pour elle. Milie était pas quelqu'un à détourner le regard. C'était une fille pleine de vie et qui ne se laissait pas faire. Elle baissais pas le tête, ne détourner pas le regard. Et là pourtant elle le faisais, ce qui avait pour résultat de franchement m'inquiéter. Non je n'ai pas l'inquiétude facile. Mais il faut me comprendre, j'ai tellement vécu seule que j'en ai perdu la notion de quantité. Je m'inquiétais pour un rien, c'était sur. Et est-ce que je m'inquièterais pas quand il y aurait réellement quelque chose ? Cela me faisait carrément peur... J'avais peur d'être à côté de la plaque, de ne pas être là pour ceux que j'aime. Il faut dire que je les avais abandonné à plusieurs reprises alors je n'avais pas pu être là pour eux quand ils avaient du en avoir besoin. La preuve est pour Irina et Renesmée et Bella... Je savais que j'aurais du être là à la mort de ma soeur, être là ensuite pour aider ma famille à se reconstruire. Je savais que j'aurais du être là pour les pousser à ne pas rester sur le côté quand cette Victoria avait construit une armée de nouveau-né. Je savais que j'aurais du être là le jour où les Volturi étaient venu prendre Renesmée et qu'ils étaient reparti les mains vides. Le même jour où am soeur avait perdu la vie. Aurais-je jouer contre poids dans la balance ? Non, j'aurais plus donné des élans sanguinaire à Caïus qu'autre chose, comme à Jane, puisqu'ils ne pouvaient pas m'encadrer tous les deux... Mais l'heure n'était pas au passé mais au présent. Et là Milie avait besoin de moi. Ma détresse passagère de tout à l'heure n'était surement rien par rapport au mal être que je sentais émaner d'elle. Quoique passagère... Non Lirose ! J'aurais tout le temps d'y penser, l'éternité devant moi, une fois que je saurais ce qui mettait ma Milie dans cet état...
Dernière édition par J. Elle Winstley le Ven 27 Aoû - 17:45, édité 12 fois
TAKE CARE OF YOU, I'M
J. Elle Winstley
▌ Avatar : Anne Marie Van Dijk ▌ Messages : 31 ▌ Réputation : 0 ▌ Date d'inscription : 26/08/2010
I'M NOT WHO YOU BELIEVE Tes Défauts (trois termes): Tes Qualités (trois termes): { Look in my eyes... & Love me }:
Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 0:13
Bonjour toi sombre inconnu qui lira un jour ces mots.
Je ne sais ni qui tu es ni si tu sais qui je suis. Et au fond, je m'en moque. Si tu lis cela c'est que j'ai du être bien étourdie car je ne pense pas la laisser à la porter de tout le monde. Non ? A moins que je décide de justement le faire ? Mais je ne suis pas assez folle pour cela. Papa m'en voudrait trop s'il l'apprenait. Il me tuerait pas mais je pense que je serais privée de sorties à vie et Dieu seul sait à quel point l'éternité peut être longue quand on ne peut jamais sortir. Tant pis, je le forcerais à aller me chercher de nouvelles partitions à la bibliothèque s'il fait ça. Il va vite en avoir marre parce que j'ai souvent besoin de nouvelles partitions. Mais bon là je parle sans grande raison alors je vais faire mieux. Je vais tout te dire, tout te raconter. Je n'omettrais rien ou presque. Voici l'histoire de ma vie sombre inconnu.
Je m'appelle Juliet Elle Winstley mais tout le monde m'appelle Elle ou encore E. Parfois, un sombre imbécile tente de m'appeler Juilet comme cela devrait logiquement se faire mais le regard que je lui sert le fait rapidement changer d'avis. Il n'y a que ma famille qui a le droit de m'appeler Juilet et encore même eux n'osent pas trop le faire. Je mord pas mais presque. Je suis née le 9 aout 1977. Ce qui fait, si tu sais compter et qu'on est toujours à la même date, que j'ai aujourd'hui 37 ans ! Miraaaacle. Non je rigole, c'est out à fait normale que je prenne trente sept ans. Ce qui est un peu moins normale c'est que je ressemble toujours physiquement à une fille de dix huit ans mais cela je t'expliquerait pourquoi une autre fois. Mon papa s'appelle Alexander et ma maman s'appelait Marianne. Je n'ai que peu de photo de Maman et encore moins de souvenirs. Mais ça tu comprendra plus tard également. J'ai une tante, la soeur de Papa, du nom de Eleonor et son mari, mon oncle donc, se nomme William. Il ont un fils aîné et une fille qui ne sont autre que Jack et Amélia. On est une belle petite famille tous ensemble.
J'étais le premier enfant de mes parents, et aussi le dernier mais ça il ne le savait pas encore. Ils était si fier. Souvent, Tante Elonor me raconte l'accouchement de ma mère en riant. Elle dit que ce jour là Papa s'est énervé pour la première fois sur Jack et que Maman n'arrêtait pas de le disputer. Selon elle, il restait là sans rien faire alors que sa femme venait de perdre les eaux. Alors mon oncle s'est occupé d'aller chercher la voiture pendant que Eleonor prenait en main la situation. Elle a mis Papa derrière le volant, Maman a l'arrière de la voiture et a laissé mes cousins au mains de leur père. C'était mouvementé tout cela. Et une heure plus tard j'étais là, dans les bras de ma mère. Je suis née à Philadelphie où l'on vivait à l'époque. J'aime bien cette ville, bien que je ne l'ai découverte qu'à treize ans. Il paraît que mes parents se sont longuement disputés sur le nom que je porterais. On a fini par m'appeler Juilet comme la mère de Papa et Tante Eleonor mais maman préférait Elle et comme elle m'appelait toujours ainsi c'est devenu le nom que l'on me donne bien que pour l'administration je sois Juilet. Enfin je suis pas grand chose pour l'administration.
On est resté deux ans à Philadelphie après ma naissance. Jakc avait vingt ans quand on est parti et Amélia venait d'en prendre onze. Oui on est bien espacé dans la famille non ? Je ne sais plus où on est allé ensuite. A vrai dire je n'ai pas de souvenir de ces années là. Je me souviens de Philadelphie un peu avant qu'on parte et du petit village dans lequel on est allé un an et demi après mais je ne me souviens pas du reste. C'est comme effacé. Jack dit que c'est le choc émotionnel qui fait cela. Selon lui je ne veux pas me souvenir de ce qui s'est passé là bas. En même temps ce serait compréhensible... J'avais trois ans depuis peu quand c'est arrivé. De quoi je parle ? Mais chut, laisse moi le temps d'amener le sujet. Parfois, je me dis que je voudrais bien me souvenir mais finalement non. J'ai été traumatisée par CE jour et je veux l'oublier. Je ne veux même pas qu'il reste lattant dans ma mémoire comme il l'est en ce moment. Parce que la nuit mon subconscient se réveille et j'en fais des cauchemars. Ce jour là, j'ai perdu ma mère. Ma douce et tendre mère... Je revois encore ses yeux brillant, j'entends sa voix mélodieuse et je sens la chaleur de ses bras contre ma peau... Mais elle n'est plus là. Ma mère est morte. Elle n'est pas morte dans un accident, non sa nature ne lui permet pas, mais elle a été tuée, assassinée. Par des vampires. Si je ne me souviens pas de ce qui s'est passé leur odeur elle est restée. Je pourrais sentir un vampire à des kilomètres. Je ne sais même pas qu'ils étaient et si ils sont encore en vie mais tout ce que je sais c'est qu'un jour je vengerais ma mère.
Après nous avons vaqué de villages en villages, de villes en villes. Je n'aimais pas ce mode de vie quand j'étais vraiment petite. Ce n'était pas drôle. Je me faisais à peine de nouveaux amis que je devais repartir. Pourtant, nous restions plusieurs années dans chaque endroit. Parfois même cinq ans d'affiler. Cela me paressait trop court. J'étais une petite fille avec des rêves d'avenirs peu concrets. Je voulais devenir un jour la nouvelle institutrice, un autre un grand médecin mais il y avait quelque chose que je voulais pour mon avenir : ne plus jamais devoir quitter ma ville. Je n'aimais pas être la nouvelle à l'école. Ce n'était pas drôle et les garçons tiraient sur mes cheveux parfois. Mais je ne comprenais pas pourquoi on devait toujours partir, jamais rester au même endroit plus de cinq ans. J'étais encore jeune pour comprendre. Le seul avantage que je voyais au déménagement c'était que je pouvais faire et refaire ma chambre encore et encore. Puis les années passèrent peu à peu et comme tout le monde je grandissais.
Bientôt on vient à changer les vêtements de mon armoire pour du seize ans. L'âge que j'avais à l'époque. C'est cette année là que je perdis mon inconscience pour comprendre enfin le grand mystère de la vie. Non peut être pas non plus mais alors que l'on m'offrait ma première guitare, je compris. Aaaah ma première guitare. Qu'est-ce que je l'aimais ! J'ai toujours aimé la musique, petite je jouais avec le transistors de Papa pour mettre du rock. Je me faisais bien souvent disputer mais le jeu en valait largement la chandelle. Puis on m'inscrit à un cours de musique et j'appris à jouer du piano et de la guitare. J'aime bien les deux mais j'ai une nette préférence pour le second instrument et quand on déménage c'est plus simple à porter. J'adorais jouer. Je pouvais passer des heures assise par terre dans notre salon a gratter les cordes. Je le fais toujours d'ailleurs. La musique c'est une part de moi que l'on ne pourra pas me prendre. Et cette fameuse guitare. Elle est toute en bois, guitare classique, mais d'un bois si beau. Sauf qu'elle a bien fini par rendre l'âme un jour. On m'en a acheter alors une nouvelle parce que sans guitare je suis de mauvaise humeur.
Mais où en étais-je avant de raconter ma guitare ? Aaaah oui, à ce que j'ai comprit. Cette année là j'ai ouvert les yeux et j'ai vu quelque chose de bien troublant. Jack et Amélia... Ils ne grandissaient plus. Alors bien sur, ils arrivaient tous les deux à un âge où l'on ne grandit plus physiquement mais on change. Notre corps change, notre visage prend en maturité. Mais eux non, ils restaient identiques. Je m'en suis rendue compte en feuillant l'album photo. Au début je me suis dit que ce n'était que moi et qu'il était normale qu'on ne voit pas la différence entre une photo où mon cousin à vingt ans et une où il a vingt deux. Sauf qu'en regardant les dates, je me suis rendue compte qu'il n'avait pas vraiment cet âge là. Je suis prise d'une sorte de frénésie. Je regardais les photos où l'on était tous les trois. Ils n'avaient pas changé d'un poil là où sur mon visage on voyait passer les années. Puis ce qui me troubla encore plus ce fut quand je tombais sur une photo de mon père et ma mère alors qu'elle était enceinte, de moi. Il avait lui aussi pas changé en seize ans. Je sais qu'à cet âge là on ne change plus beaucoup mais bon. Et puis, William et Eleonor ne changeait pas non plus. Eleonor faisait à peine plus vieille que sa fille qui ne faisait déjà pas son âge. Ma famille ne vieillissait pas.
Cette nouvelle me troubla beaucoup. Je perdis l'appétit peu à peu, trop occupée à penser. Je jouais à peine de ma belle guitare et surtout je ne dormais plus. La nuit, je me tournais et me retournais dans mon lit sans jamais trouvé le sommeil. Des tas de questions envahissaient mon esprit et je suis quelqu'un qui ne supporte pas de rester sans réponse. J'avais besoin de savoir, et ce besoin de savoir commencer à me ronger de l'intérieur comme il le fait maintenant pour la mort de Maman. Qu'est-ce qui faisait qu'ils ne changeaient donc pas ? Ca ne pouvait pas être naturel non ? Je ne comprenais pas et cela m'énervait. Ils ont fini par voir ce changement chez moi. Je devenais silencieuse, pensive et surtout j'étais fatiguée. Un jour, Papa m'a demandé de lui dire ce qui n'allait pas et je me suis lancée à l'eau. J'ai parlé, parlé, et encore parlé. J'ai bien du mettre une heure à lui expliquer en long et en large le problème. Je lui ai parlé de toutes ces questions qui me donnaient des insomnies, je lui ai dit toutes les réponses que j'avais imaginé. Puis j'ai avoué : ces réponses ne me convenaient pas. Alors, pour la première fois, on m'a raconté l'histoire de la famille. Il m'a dit ce qu'ils sont et ce que je serais peut être un jour si j'en émettais le souhait à l'âge voulu. Il m'a raconté comment il était devenu ainsi. Comment il avait voulu défendre sa soeur alors qu'il était déjà trop tard et qu'ils sont ainsi devenu l'un et l'autre ce qu'ils appellent les Enfants de la Lune. Il m'a raconté comment Eleonor et William se sont connus et qu'il a abandonné sa vie pour rester éternellement aux côtés de celle qu'il aime. Il m'a ensuite, les larmes aux yeux, expliqué que ma mère était une jeune noble anglaise qu'il avait rencontré lors d'un bal de charité. Il m'a dit comme elle était belle, et comme il l'avait tout de suite aimé. Il m'a expliqué qu'elle avait tout comprit, seule, sur qui il était et quel est son mode de vie : fuir. Il m'a montré les photos de leur mariage avant de me conter la stratégie qu'ils avaient mis au point pour fuir la famille de ma mère. Il m'a dit leur joie quand Will et Eleonor ont eu Jack puis Amélia. Et puis il m'a raconter le jour où Maman lui a annoncé qu'elle était enceinte. Il m'a juste dit qui j'étais en exposant ainsi à mon regard l'histoire de la famille. Je lui en suis extrêmement reconnaissante, encore aujourd'hui.
Une nouvelle année passa. J'étais une jeune fille comme n'importe quelle autre pour beaucoup. Je sortais le vendredi soir de temps en temps, je faisais beaucoup de shopping avec ma tante et ma cousine. Je passais des heures à jouer de la guitare ou du piano et j'avais un petit copain à l'époque. Bref, j'étais une jeune fille tout à fait normale non ? Ou presque, je sais... Mais cette histoire de famille me faisait étrange. Je ne dormais plus les soirs de pleines lunes que les miens se transforment en adorable loups dans leur chambre respective ou dehors. Je m'inquiétais pour eux et je passais la nuit à tendre l'oreille pour entendre le chant d'un loup qui raconterait ses malheurs à la Lune. Je vivais là dedans et je savais que peu à peu se rapprochait le jour de mon choix et que bientôt soit je devrais les quitter pour partir à la fac seule soit je serais comme eux. J'avais peur. Je savais que je ne voulais pas les quitter, la famille c'est ce qu'il y a de plus important alors il était hors de question que je me sépare d'elle. Et de toute façon, je n'avais qu'eux alors pourquoi partir ? En même temps je n'oubliais pas ce que m'avait dit mon père à propos des nombreux désavantages qu'offrait l'immortalité. Enfin, immortalité... Maman était une louve elle aussi et pourtant elle est morte. Je stressais déjà à l'approche du bac, comme tout lycéen normalement constitué, mais l'idée de savoir que ce ne serait pas que le bac me faisait tellement peur... J'envisageais de saboter mes examens pour me laisse une année de plus mais je savais qu'ils s'en rendraient compte. J'avais toujours été une élève exemplaire alors...
Puis vient le moment tant attendu. J'avais si peur. Je ne voulais pas aller au lycée le jour des résultats. Déjà que j'avais du me forcer pour aller passer les examens alors aller voir les résultats. Quand Papa était venu me réveiller, je n'avais eu que pour réaction de lui dire de me laisser tranquille et j'avais enfouie ma tête dans mon oreiller pour ne pas entendre sa leçon de morale. Je savais que je me défilerais au moment venu, que je ne pourrais regarder mon nom sur cette liste... J'étais sa petite fille et je ne voulais pas le décevoir. Qu'est-ce que Maman aurait fait à ma place ? Il finit par sortir de ma chambre en soupirant. Je jouais la comédie pendant une petite demi-heure puis quand je sus que la voie était libre, je me dirigeais vers la salle de bain. Si jamais j'allais voir ses résultats se serait seule. Mais cela ne m'empêchait pas de me laver. Quelle surprise se fut pour moi, alors que je descendais les marches en catimini, de voir Amélia et Jack se précipiter vers moi. Ils me conduire jusqu'à' la cuisine où tout le monde me félicita d'avoir eu mon bac. Papa avait dit que je ne voulais pas y aller et Oncle William était allé voir pour moi. Je me suis mise à pleurer comme une enfant. J'étais si heureuse. Ils me traitèrent en reine malgré mes protestations. Je pouvais me servir mon petit-déjeuner seule tout de même. Je sentais qu'un certain sujet aller bientôt faire son apparition. Alors profitant d'une seconde de silence je lançais un « J'ai fait mon choix » tout beau tout frai. J'ai bien cru que Papa allait avoir une attaque, c'est un peu bête quand on peut vivre éternellement et qu'on a un fille qui a besoin de son père. Je leur ai dit que mon choix c'était eux. Une vie à leur côté ce n'était que trop peu pour moi. J'avais besoin d'eux. A la pleine lune suivante je suis devenue une Enfant de la Lune.
Alors une toute autre vie commença. Quelques semaines après ma transformation, nous déménagions une nouvelle fois. Je n'aimais toujours pas cela même si j'en reconnaissais le bien fondé maintenant. Ce fut plus dure que les fois précédentes de faire mes cartons. Je vivais ici depuis trois ans, mes trois années de lycée. J'avais vécu tellement de choses dans cette ville. Mais je fis mes cartons et je suivis ma famille avec plaisir vers notre nouvelle ville. Au début, j'espérais entrer à la fac en septembre. Mais William mit rapidement les choses aux points pour nous trois, Jack, Amélia et moi. Ce sera la seconde pour tous les trois. On protesta vivement. Je leur dis que je ne voyais pas l'intérêt d'avoir obtenu mon bac si c'était pour recommencer l'année de juste après. Cela les a bien fait rire mais les adultes ne voulaient pas changer d'avis. Alors on est allé au lycée la tête dépitée. Ce n'est pas drôle, les programmes avaient pas encore changé donc je savais déjà tout. Mais on ne devait pas se faire remarquer ! Dommage, si non je suis sure qu'au moins l'un de nous trois aurait sauté une classe. Mais bon, on est resté six ans dans cette ville. Pourquoi ? Parce que j'ai simplement refusé de partir avant d'avoir ma licence. Je n'allais pas passé trois fois le bac d'affilées sans même obtenir une licence. J'eus une licence lettre parce que bien que scientifique en premier je n'avais pas repassé un bac S mais changé pour un bac L. Ca faisait pas beaucoup de différence selon moi.
Les années passèrent créant avec elle un train train quotidien. Un an, deux, parfois même trois ou plus, et on repartait. C'était assez drôle parfois, de voir tous les regards sur nous à la rentrée et d'autres tellement gênant. D'ailleurs en parlant de regards et de choses gênantes, je commençais à croire que les hommes de la famille avaient fait un pacte. Amélia le pensait aussi mais étrangement, ils la laissaient plus vivre sa vie. Mais je plains d'avance le pauvre malheureux qui oserait poser les yeux sur moi même s'il le fait de façon chaste, pure et honorable. A l'école, parfois, je me demandais si Jack ne me surveillait pas. Je lui en ai parlé et il a juste rit. Je sais qu'ils font cela pour moi et que maintenant qu'ils savent que je vais pas partir de mon côté, où là ils n'auraient rien pu faire, ils veulent me protéger de tout et particulièrement des garçons. Mais cela n'empêche pas que c'est parfois gênant et encombrant. Je ne peux plus sortir sans devoir justifier où je vais ! Enfin, non, je peux sortir mais j'ai intérêt à pas rentrer trop tard non plus. Papa a peur pour moi. Il a perdu Maman et il veut pas que je parte. Mais quoi qu'il arrive je resterais avec eux. Il faudra juste qu'ils se fassent au fait que je sors à n'importe quelle heure et sans prévenir quand j'ai envie d'un livre ou d'une partition. Je suis assez indépendante aussi, je l'avoue. Peut être est-ce mes sorties répétitive et sans raison qui les poussent à être si protecteurs. Mais que j'aime marcher dans le nuit ! Écouter les bruits nocturnes, profiter d'être un peu seule dehors, pouvoir réfléchir à voix haute, être seule avec moi même... Et puis, je rentrais toujours. Je ne m'absentais jamais plus de cinq heures d'affilées et quand je savais qu'ils devaient s'être rendu compte de mon absence et s'inquiéter je rentrais. Puis il y eut l'invention du portable. Bon d'accord le mien est pour ainsi dire toujours toujours éteint mais quand je sentais qu'ils essayaient de m'appeler, je l'allumais. Et là je regrettais en entendant la voix de mon père en colère me vriller les tympans.
Je n'aimais plus vraiment l'école. Pas que j'ai vraiment adoré cela un jour, bien au contraire j'ai toujours trouvé ça ennuyant et sans intérêt. Mais quand j'étais petite j'étais contente d'y aller pour voire d'autre enfants et apprendre de nouvelles choses. Alors que maintenant je ne me liais pas spécialement aux camarades de classes que j'avais. Où est l'intérêt d'aimer quelqu'un en sachant dès le début que deux ans plus tard on le perdra ? Il ne restait comme intérêt au lycée que les cours. Je trouvais cela tellement répétitif, toujours la même chose. J'avais beau essayer tous les bacs possibles et imaginable, changer d'options et de langues vivantes à chaque fois. Je trouvais cela ennuyeux. Alors bien sur, il y avait ces installations où les parents céder et où on avait le droit d'aller à l'université plutôt qu'au lycée. C'est comme ça que j'eus mon diplôme de psyco parce que la médecine c'est trop long pour qu'on puisse se le permettre. Mais les études d'infirmières non donc je ne me suis pas gênée. J'ai aussi une licence en langues anciennes et une en chimie... bref, cela me passionnait bien plus que le lycée. Et puis on avait trouvé quelque chose pour rendre les années moins ennuyeuse : l'école de musique. Dans chaque nouvelle ville, on m'inscrivait à une école de musique. Je suivais des cours de guitare principalement mais j'essayais aussi d'autres instruments. Bon pour la lecture des partitions et tablature, j'eus vite fait de ne plus avoir besoin de cours. Bref, je m'étais trouvé une passion à cinq ans et depuis je ne la lâchais plus. D'ailleurs je ne l'ai toujours pas lâchée cette passion...
Et la vie passe douce et délicieuse comme tu ne peux le comprendre sombre inconnu. Je doute que quelqu'un comprenne vraiment ce que je peux ressentir. Cette immortalité me convient. Je me sens chez moi, à ma place, immortelle parmi une famille d'immortels. Il y a cette bonne ambiance, cette envie de camaraderie que l'on a tous ensemble. Je suis chez moi. Et peu à peu, le temps guérit les blessures du passé... Elles ne se refermeront jamais nos plaies mais elles peuvent être pansées et nous faire moins mal. Papa recommence à vivre normalement. Quand on le regarde sans qu'il le sache, il n'a plus ce sourire triste et les yeux dans le vague qui le caractérisait avant. William et Eleonor parlent d'avoir un autre enfants mais je crois qu'ils ne veulent pas aborder le sujet avec Papa de peur de lui faire du mal. Pourtant, j'ai vu le regarde de ma tante quand on est passé devant cette boutique pour femme enceinte l'autre jour. Les joies de la maternité lui font envie, il n'y a pas de doute. Je me demande bien s'il existe une ménopause chez les Enfants de la Lune. Peut être que oui, peut être qu'elle s'en rapproche et que l'idée d'attendre pour pas brusquer son frère le chagrine car elle a peur de ne pas avoir un troisième petit. Et puis, elle nous l'a dit : l'idée que nous nous sommes en âge de fonder une famille, d'avoir des enfants, la tracasse un peu. Jack cherche l'amour de sa vie ou du moins c'est ce qu'il nous dit en rigolant quand on lui demande comment ça se passe avec sa copine du moment. Je pense qu'il ne veut pas se poser, qu'il aimerait rencontrer la bonne un jour. Celle qu'il transformera pour qu'elle reste éternellement à ses côtés. Et de nos jours, rencontrer quelqu'un quand on déménage au bout de six ans maximum n'est pas tout simple. Amélia cherche encore sa voie car elle n'a pas trouvé d'études ou de sujet qui la passionne. Elle papillonne d'un endroit à un autre. Je pense qu'elle aussi a peur de se poser, de rentrer dans une routine qui ne lui plairait pas.
Quant à moi.... Moi je n'ai toujours pas tourné la page sur ce qui s'est passé. Je vengerais ma mère j'en ai fait la promesse. Mais les vampires ne semblent pas être aussi nombreux que je ne l'aurais cru. Peut à peu je récolte toutes les informations que je peux sur cette nuit mais je ne veux pas faire le pas qui me sépare de mes propres souvenirs. De même que je ne veux pas me lier aux gens de ma nouvelle vie. Pourtant, je finis toujours pas le faire et avoir un ou deux, alors soyons fous même trois, amis. Mais jamais de personnes qui me tiennent vraiment à cœur. J'ai pas envie de me faire des amis que je devrais quitter alors je me fais des potes mais je ne partage rien de profond avec eux. Parfois je me dis que ce genre de relation, meilleurs amis, me manque, qu'elles combleraient les vides dans ma vie. C'est surement vrai mais pourtant... Je ne sais pas, quelque chose doit me retenir de le faire sans que j'en ai conscience. Mon subconscient m'amènera peut être la réponse en rêve, ça changera des cauchemars pleins de suceurs de sang qui envahissent mes nuits. Contrairement à mon cousin, je n'ai pas de relation amoureuse qui en dure pas. Mais non, je n'ai pas du tout peur de souffrir dans la vie. On va dire que je ne suis pas prête à m'engager mais comme Amélia me l'a fait remarquer : une relation ne veut pas forcément dire un engagement à long terme. Pourtant je ne vois pas l'intérêt de sortir avec quelqu'un si on sait que cela ne durera pas.
Mais bon, là n'est pas la question. Aujourd'hui qui sommes nous et où sommes nous ? Nous sommes la famille Winstley constituée d'une grande fratrie. Et oui, nous ne pouvons plus vraiment dire que nous sommes bien les enfants de nos parents parce que cela est pas crédible. Alors je suis devenue la soeur de mon père et ma tante alors que Amélia et Jack devenait le frère et la soeur de leur père. Eleonor et William sont donc pour les humains le couple ciment de notre grande famille mais bon, ça je m'en moque car pour moi on restera toujours comme on était avant : une famille unie. Ca fait un peu plus de trois ans que nous sommes à New-York. C'est une belle ville et je ne regrette pas de m'y être installée. Il y a pleins de possibilité de shopping ce qui occupe mes samedis avec ma cousine. Et puis on peut se permettre. Cela fait très longtemps que les intérêts de la famille fleurissent à la banque alors on roule pas sur l'or parce que voilà mais nous sommes disons une famille bien aisée. Je suis en première année de fac de science. Bah oui en déjà trois ans j'ai eu le temps d'obtenir une nouvelle fois mon bac... bref, c'est la dolce vita pour ainsi dire ou presque. Il a juste une chose qui me chiffonne : cette ville sent de plus en plus le vampire...
Et voilà sombre inconnu, tu connais maintenant l'histoire de ma vie en long et en large, ou pas je sais. Disons que tu en connais les grande ligne mais de toute façon pour répondre à toutes tes questions je devais surement découvrir des choses que j'ignore encore aujourd'hui. Alors laissons les choses se faire d'elles-mêmes et ne les précipitons pas. J'ai appris que la vie était bien capricieuse.
Dernière édition par J. Elle Winstley le Ven 27 Aoû - 15:26, édité 7 fois
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Alec V. Volturi
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 0:17
Welcome here =) (j'aime Anne Marie -out- )
Grazie mille pour ton inscription. Je suis à ta disposition pour toutes questions, amusantes, stupides ou compliquées, n'hésite donc pas à venir envahir notre boîte si tu as le moindres soucis.
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 0:18
bienvenue sur le forum
Bon courage pour ta fiche qui m'a l'air bien avancé ^^
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J. Elle Winstley
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 0:19
Merciiiii tous les deux ♥
(bah Anne Marie quoi =o )
T'inquiète pas pour les questions, j'en ai toujours pleins de bien bien stupides qui me trotte dans la tête. J'en ai même déjà une. Mais c'est que je commence bien =p
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Alec V. Volturi
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 0:22
(I'm agree, I'm agree)
tiens, tiens, mais je t'écoute xD
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Renata Volturi
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 12:38
Bienvenue (:
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Renesmée C. Cullen
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 14:21
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah
Bienvenue par ici ma petite nymphe des bois
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J. Elle Winstley
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 14:23
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 15:35
Gniaaaaaaaaaa gniaaaaaaaaaaaa gniaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa Ma J. d'amûûûûûûr Bienvenuuuuuuuuuue
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J. Elle Winstley
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 17:47
Merciiii ma V. d'amour
Fiche terminée =D
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Alec V. Volturi
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 17:59
J'adore ta fiche, une excellente rpgiste que nous accueillons une nouvelle fois et ce, pour notre plus grand plaisir ; )
J'espère que tu t'amuseras parmi nous et c'est un bienvenu officiel et donné avec grand plaisir ; )
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J. Elle Winstley
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Ven 27 Aoû - 18:01
Han merciiiiiiiii Je suis sure que je vais bien m'amuser =D
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Isabella M. Cullen
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Sam 28 Aoû - 16:09
Bienvenue sur le forum !
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J. Elle Winstley
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail Sam 28 Aoû - 17:45
Merci
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Sujet: Re: J. Elle ♫ I was a blackmail
J. Elle ♫ I was a blackmail
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