MORIANTY, Venezia Miel. ♠

Venezia Miel MORIANTY

©Mymz

« Ces plaisirs violents ont des fins violentes ; dans leurs excès ils meurent tels la poudre et le feu, que leur baiser consume. »

❝ • Veny ❝
❝ • 252 ans ❝
❝ • 22 Janvier en Toscane (Italie) ❝
❝ • Italienne ❝
❝ • Au sang humain je succombe ❝
❝ • Photographe ❝
❝ • Possessive, téméraire, entêtée, rancunière, séductrice. ❝
❝ • Optimiste, courageuse, attentionnée, loyale, franche. ❝
❝ • Aisé ❝
❝ • Passe Muraille • ❞
❝ • Blake Lively ❝

ASSIEDS TOI ET RETIRE TON MASQUE

Tu dois obligatoirement avoir quelques passions... ou dégoûts. Serais tu apte à tous nous les confier sans en dissimuler?

La passion principale de Venezia est comme quasi tous vampires sanguinaires : se nourrir. Mais au-delà du simple repas que reflète sa proie elle aime jouer avec elle. Jouer étant un bien grand mot, pour Venezia il ne s'agit uniquement que d'un jeu de séduction. Elle a une morale -du moins pour un vampire- et n'est pas du genre sadique, cependant elle aime beaucoup charmer, pour avoir l'impression que c'est plus l'humain qui est venu à elle que le contraire. Essaierait-elle de se donner bonne conscience ? Sans aucun doute. Pourquoi ? Sûrement car elle n'aime pas ce qu'elle est, elle n'aime pas cette nature qui l'a fait tuer son père.
Outre ce plaisir elle aime beaucoup la photographie, certes en faire son métier était plus une façon de se fondre plus facilement dans la masse mais Venezia s'est dit que joindre l'utile à l'agréable serait encore mieux.

On ne peut avancer dans la vie sans avoir de buts. Quel est le tien, voir quels sont si plusieurs se sont dessinés dans ton esprit?

Le but premier de la jolie blonde n'est autre que : conquérir le beau et sexy Alec. Elle en est éperdument amoureuse et a ce besoin vital que ce soit réciproque. Petit caprice car c'est l'unique homme -vampire ou non- qu'elle n'a pas réussie à véritablement séduire sans avoir recours à la manipulation ? Seule elle le sait, une chose est sûre cette fois elle l'aura coute que coute et de façon beaucoup plus digne qu'autrefois.

La lune trace deux voies sur la terre meuble. Où va ta préférence? A la voie la plus éclairée, et donc plus aisée à prendre, ou à celle plus sombre et plus dangereuse?

Quel vampire peut dire préférer la facilité ? Peut-être quelques uns certes, mais ce n'est pas du tout le cas de Venezia. Elle aime jouer avec le feu, avoir l'impression qu'à tout moment elle peut tout perdre. Ce qui a déjà été le cas à maintes fois, notamment lorsqu'elle a perdu Alec. Cela explique d'ailleurs l'impossibilité pour la belle d'accepter un quelconque compromis qu'elle soit à la fin gagnante, ce qu'elle le veut, elle l'aura et même si cela veut dire prendre les plus gros risques. Après tout lorsqu'on a l'éternité devant soit à quoi bon être raisonnable ? La vie ne peut être que plus excitante lorsqu'il y a un enjeu important.

DANS UN MONDE DIFFERENT

❝ • Pseudo ♦ Mina •❝
❝ • Age ♦ 18 ans • ❝
❝ • Ton avis sur le forum ♦ J'aime, j'adore, je keaf, je surkeaaaaaaaf ! ♥ •❝
❝ • Où nous as tu trouvé? ♦ Via top-site • ❝

❝ • Quel est ton niveau rp? ♦ Bon •❝
❝ • Fréquence de tes visites ♦ 6 voire 7/7 •❝
❝ • Code ♦ You're mine •❝
❝ • Un exemple de rp (spoiler en dessous )•❝

Spoiler:

Lirose DENALI & Renesmée CULLEN
« Rencontre, Découverte... »

Au fil de la conversation, inexplicablement cette Lirose qui était donc une cousine éloignée avait réussie à me rassurer et peu à peu je baissais mes gardes pour lui accorder un peu de ma confiance. Beaucoup me disaient que j'accordais bien trop facilement ma confiance mais ils savaient aussi que dès qu'elle leur était enlevée il était presque vain d'essayer de la récupérer. C'est pourquoi jusqu'alors aucun d'eux n'avaient jamais essayés de tester mon côté rancunier sachant trop bien que mon côté têtu me forcerait à ne pas leur pardonner. Enfin cela selon l'importance de leurs actes.

Bref j'accordais donc ma confiance à cette inconnue de qui je n'avais même pas vérifiée l'identité et pour qui j'éprouvais étrangement déjà de la tendresse. Beaucoup pensaient que les vampires, ou même semi-vampires comme moi étaient dénués de leur humanité et donc de sentiments. Dans un premier temps maman était la preuve vivante -pas si vivante que ça mais ne jouons pas sur les mots- que les vampires ne l'étaient pas, ils en étaient de même pour tous les autres de ma famille. Car ayant toujours fréquentés les humains de très près je les connaissais parfaitement bien et pouvais affirmer qu'ils étaient plus humains et étaient plus sincères dans leurs sentiments que bien des humains. Et il en était de même pour moi, bien que cela fut on ne sait pourquoi amplifié car il y avait chez moi quelque chose qui faisait que j'aimais tout le monde -enfin presque- comme tout le monde m'aimait. Et ce depuis ma naissance. Car oui chacun avait succombé à mes charmes au premier regard.

Je me demandais d'ailleurs s'il en était de même pour Lirose, bien que ça n'aurait pas dû avoir son importance je me demandais si elle m'appréciait déjà comme c'était le cas pour moi envers elle. Je la considérais déjà presque comme une des nôtres alors que je ne la connaissais pas mais il y avait une certaine évidence maintenant que je savais tout ce qu'elle m'avait dit qu'elle était des nôtres. Et je n'étais d'ailleurs pas peu heureuse que ça soit le cas. Je la regardais donc de cet air attendrissant, totalement touchée par la peine et le désarroi que j'avais pu trouver dans ces mots quelques secondes auparavant. Et j'espérais sincèrement que mes mots la réconforteraient un tant soit peu. Et ça parut être le cas car à peine avais-je esquissé les lèvres pour laisser apparaitre un sourire qu'elle semblait déjà plus apaisée.
Je la regardais donc pas peu fière de l'effet de sérénité qui j'avais en apparence ou non, su produire chez elle. Puis je fus sortis dans mes songes lorsque sa voix qui me semblait plus jolie maintenant que j'appréciais cette personne qui était face à moi, se fit entendre.
« C'est gentil à toi de dire cela. Tu es bien la petite-fille de Carlisle, ça ne fait pas de doute. Je... »Elle s'était stoppait net et affichait maintenant un regard horrifié. Elle finit tout de même par assouvir mon désir de savoir pourquoi elle affichait tout à coup ce regard en reprenant : « Qu'est-il arrivé à Irina ? Pourquoi mes sœurs ont-elle souffert ? »

Je me rendis ainsi compte qu'elle n'était pas au courant pour Irina c'était certain. Vu l'inquiétude que je pouvais lire sur ses traits c'était peu dire qu'elle était morte de peur quand à ce que j'allais lui annoncer. Mais allais-je lui annoncer, était-ce à moi de le faire ? Je ne le pensais pas mais la voir ainsi me faisait mal. Personne ne devait vivre cela et ce qui l'attendait elle n'aurait jamais dû le vivre si ça n'avait tenu qu'à moi. Mais aujourd'hui nous étions tous impuissants, Irina n'était plus de ce monde et vouloir lui cacher la vérité ne ramènerait certainement pas celle qui n'était plus que sa sœur dans son cœur. Je sentis alors mon cœur s'emballer. Lui qui était déjà plus rapide que la norme battait maintenant si fort que rien que cela devait lui mettre la puce à l'oreille et la faire deviner quel tragique événement était arrivé. Mais ce qui faisait que j'étais encore plus gêné c'est que j'avais toujours cru que cela était de ma faute. Si je n'avais pas exister tout cela ne serait pas arrivé. Pas d'enfant immortel, donc pas d'Irina qui va voir les Volturi et qui sera tuer car pour me garder en vie il a fallut démontrer à ces monstres que j'étais une hybride.

Je ne savais pas quoi lui dire, car oui il n'avait pas de règles que ce soit dans le monde humain que dans le monde vampirique pour annoncer la mort d'un être cher. Je voyais bien qu'elle était totalement perdue et qu'elle ne voulait plus qu'une seule chose : savoir. Et même si je savais qu'après cela elle aurait préféré ne jamais savoir, rester dans l'ignorance et pensant que sa sœur était toujours de ce monde je me disais qu'elle devait savoir. Je la regardais et ne voulant pas faire durer son calvaire plus longtemps je finis par après avoir soufflé un bon coup le lui annoncer.
« Eh bien je suis désolée de devoir te l'annoncer mais Irina a été tué... Je préfère ne pas t'en dire plus car j'étais à l'époque bien jeune et je préférerais que ce soit mon père ou bien même une de tes soeurs qui t'expliquent pourquoi. »

J'avais mal, mal pour elle mais aussi mal pour la perte d'Irina qui malgré le fait que je ne l'avais jamais connu vraiment avait toujours fait partie de notre famille. Puis je revivais alors tout ce qu'il s'était alors passé à l'époque... Et rien que d'y penser cela me fit frisonner. Bien que cela datait, je savais que cela serait toujours une période très noire de mon existance si noire que j'aurais parfois préférait ne pas exister afin que celle ci n'ait pas existé non plus.

COMMENT DEFINIS TU TON HISTOIRE?

. n a i s s a n c e .

1762, Vingt-deux janvier. Toscane (Italie)

Une femme, un homme. Mariés et amoureux depuis quelques années déjà, ils attendent alors un heureux événement. Evènement qui changera leur vie à jamais : un petit bébé, leur premier enfant. De futurs parents bel et bien heureux mais surtout très impatients de découvrir leur progéniture.

Seize heure. Ciel bleu, soleil qui brille, oiseaux qui chantent. Alors qu'en ce mois de janvier il était plus qu'étonnant de voir une si belle journée se profiler, on entendit un cri venant de la résidence Morianty.

« HAAAAAAAAAAA ! Chéri, chéri ! »
« Que se passe-t'il donc Stefanie ? Parlez. » avait-il dit d'une voix plus qu'apeurée.
« Il arrive, il arrive, maintenant ! »
« Qui ça ? »
« Mais... Le... bébé ! Bêta ! » s'était-elle écriée tout en essayant tant bien que mal d'étouffer ses cris de douleur.

Le mari déposa un baiser sur le front de sa belle, tout en l'allongeant sur le divan alors qu'aucun mot ne pouvait sortir de sa bouche tant il avait la gorge nouée. Du moins jusqu'à ce qu'un de ses gens arriva de la pièce.

« Appelez le médecin, dîtes lui que c'est urgent, très urgent ! »

La femme s'exécuta alors. Et un peu moins de quinze minutes plus tard le médecin était là. Le docteur fit alors sortir le mari ainsi que la plupart des serviteurs des Morianty. Puis après plusieurs cris que l'ont pouvaient sans aucune hésitation deviner venir de Stefanie, on entendit tout à coup un cri doux et strident à la fois. Cette sonorité était tellement légère à l'oreille que les cris ne pouvaient venir que du nourrisson. L'impatience de Antonio se fit alors plus forte. Cependant cela ne dura pas longtemps car à peine quelques minutes après la porte s'ouvrait et le docteur souffla :

« Félicitions Monsieur, vous êtes l'heureux papa d'une magnifique petite fille. »

Le père s'empressa alors de rejoindre sa bien aimée ainsi que celle qui quelques minutes après avoir pointée le bout de son nez était déjà son unique priorité.

. e n f a n c e .

1772

Un peu plus de dix ans, et Venezia avait déjà le monde à ses pieds. A commencer par ses parents. Etant un peu l'apogée de leur amour Stefanie et Antonio faisait de leur petite Veny une princesse... pire encore même. Au plus grand désespoir de son frère : Alexander. En effet jaloux comme un poux de la petite reine, à maintes et maintes fois le frère essayait de détruire la réputation de petit ange de sa très chère soeur... en vain. Était-ce la chance ou tout simplement car la petite Venezia était vraiment un ange ? Même elle ne l'a jamais su.

En effet quelque peu niaise, elle n'a jamais imaginé que son frère pouvait lui vouloir du mal. Après tout lui n'avait que sept ans, comment imaginer qu'un enfant de cet âge était rongé à ce point par la jalousie au point d'en devenir un vrai petit démon ? Au delà de cela, Veny ne l'a jamais deviné étant tout le temps dans son petit monde. Gâtée pourrie, elle n'était préoccupée uniquement par ses jolies robes, ses bijoux et sa réputation. A dix ans me dîtes vous ? Eh bien oui. Les Moranty étant une famille de grande renommée, elle était entourée par des personnes qui épiait ses moindres faits et gestes. Et aussi difficile que cela puisse paraitre, du haut de ses dix ans, la petite Moranty était estimée par toutes les personnes de la noblesse italienne et adulée par toutes les petites filles de son école.

. a d o l e s c e n c e .

1779.

Toujours aussi belle, toujours aussi riche, toujours aussi chouchoutée, à dix-sept ans la chance souriait toujours autant à Venezia. Ayant tout ce qu'elle désire elle était dans sa petite bulle que l'on appelle : rêve éveillé. Et pourtant la jeune Morianty en voulant toujours plus ne se rendant pas compte de la chance qu'elle avait. Parfois son frère lui disait « Attention grande soeur, la roue tourne... » mais jamais elle n'y avait prêté attention. Après tout que pouvait-il lui arriver ? Belle, riche, intelligente et libérée elle était autant la fille parfaite que la petite amie parfaite. Pourtant la belle ressentait bel et bien un manque. Elle avait beau être le fruit de tous les désirs, elle n'avait jamais rencontrée l'Amour. Pas la petite amourette, non non elle rêvait bien du grand Amour, celui avec un grand 'A', celui des bouquins que lui lisaient sa très chère mère lorsqu'elle était plus jeune. Malheureusement elle ne le trouvait pas, l'homme était soit pas assez beau, soit pas assez riche, soit pas assez intelligent, soit pas assez divertissant. Oui oui la petite Morianty cherchait bel et bien l'homme parfait et bien que tout le monde la pensait trop exigeante ses parents ne cessaient de répéter qu'étant une Morianty et étant si parfaite, qu'elle pouvait se permettre d'être exigeante. Donc si elle ne voulait pas de tel ou tel homme, ils ne l'obligeraient à rien. Car oui même si à l'époque il était coutume de faire marier sa fille à un 'bon parti', pour les Morianty qui avaient connus l'Amour le vrai, voulaient pour leur fille la même chose et non pas marier de force leur unique fille, leur petit bébé.

à suivre...

1780.

Je me baladais en ville avec quelques amies, nous étions encore bien jeunes et excitées en vue de la journée qui s'annonçait. Rares étaient les moments où nous étions toutes libres. C'était l'été et pourtant le ciel était gris, j'aimais lorsqu'il faisait un tel temps car nous avions eut un début d'été fort chaud et avec mes jolies tenus j'avais eu bien trop chaud. Contrairement à nous tout le monde semblait bien morose face à ce temps, logique vue qu'ils n'avaient pas à porter ce que nous portions. De jolies tenus certes, mais de jolies tenues qui superposent plusieurs vêtements et donc qui donnent chaud...

C'est donc alors que nous nous baladions dans le pars que je le vis. Il était beau, très beau. Mystérieux et pourtant il y avait quelque chose chez lui qui nous, du moins me donnait envie d'aller vers lui et de discuter. Seulement mon éducation faisait que j'avais dans l'idée que je n'avais pas à faire le premier pas. Je l'épiais donc et vit qu'il se dirigeait vers le parc, je proposais alors à mes amies d'en faire de même. Une fois dans le parc il se tourna vers moi et me sourit. De la tête aux pieds, je sentis ce frisson me prendre. J'étais à la fois charmée et intriguée. Tant que finalement je décidais d'aller au delà de mes aprioris, m'excusais auprès de mes amies et m'avançais vers lui. Un sourire à nouveau qui eut d'ailleurs le même effet sur moi, mis à part que cette fois un soupçon d'adrénaline se fit ressentir. J'aimais ces sensations et continuais donc de m'approcher. Une fois à son côté je lui lançais à mon tour un sourire, mon plus beau sourire, celui que j'utilisais lorsque je désirais vraiment quelque chose. Et cela sembla fonctionner une fois encore car il s'était accroupie devant moi, c'était emparée de ma main et l'avait baisée. J'étais étonnée, il ne m'avait même pas demandé ma permission mais pourtant cela me plaisait. Je lui souris à nouveau tout en l'inspectant. Il devait être riche, ça n'avait aucun doute. Il portait une tenue qui le montrait, il portait même des gants... Étrange mais cela lui donnait un je ne sais quoi, qui paraissait comme un signe de richesse. Au delà de tout cela, il était très beau. Serait-il celui qui me arriverait enfin à conquérir mon coeur ? Peut-être... En tout cas il était en bonne voie.

Après cela il s"était relevé, et nous avions discutés. Nous nous voyons fréquemment. Et alors que mes parents étaient ravis pour moi, mon frère ne cessait de dire qu'il me regardait d'une manière étrange, comme si il était un enfant et moi une friandise, ou encore lui un carnivore et moi un beau morceau de viande. Si j'avais su à l'époque je l'aurais écouté car il n'était pas si loin de la vérité mais j'étais jeune et éperdument amoureuse. Et lorsqu'enfin il demanda ma main et que mes parents mais surtout moi acceptèrent, j'avais enfin tout ce que je désirais. Je criais sur tous les toits et montrais à la vue de tous notre amour alors que mes parents nous préparaient un mariage de rêve. C'était l'événement le plus attendu de La Toscane et quand enfin vint le jour J je pensais être la fille la plus heureuse. Le mariage que nous avait préparés mes parents était plus que parfait alors que je me mariais avec l'homme le plus parfait. J'étais donc persuadée d'avoir une vie parfaite... seulement lorsque vint le soir tout s'assombrit.

à suivre...

. r e n a i s s a n c e .

1780, dans la nuit.

Nos noces allaient se dérouler dans un grand hôtel extérieur à la ville. Il était réputé pour être le meilleur hôtel pour célébrer les noces, il était cher mais mes parents ne regardaient pas à ça seul mon bonheur leur importait. Jade, car oui c'était son prénom et moi avions décidés d'attendre de nous marier pour aller plus loin dans notre relation. En effet nous n'avions jamais eu de rapports sexuels, mais il me disait que c'était parce que nous étions tant amoureux que le sexe n'était rien comparé à ça. Il avait les bons mots et moi j'étais si innocent que je l'avais cru. J'avais fait du shopping avec ma meilleure amie et avait choisi de jolis sous-vêtements pour pimenter un peu notre nuit. Une fois enfilés je le rejoins dans le lit et alors que j'allais me poser au dessus de son corps mon téléphone retentit. Mon père... Je m'excusai auprès de mon mari et décrochais. Mon père me demandais si tout se passait bien, je lui dis que oui puis il me dit que le shérif de la ville était passé et que nous n'étions pas officiellement marié car il n'existait pas de Jade Spencer. Je ne pus que rire aux éclats et lui dis que le shérif avait toujours été intéressé par moi, qu'il n'avait pas à s'inquiéter et que je le laissais avant de raccrocher. Puis je me tournais vers mon mari et lui sauta dessus. Mais je me figeais net, il y avait quelque chose d'étrange... Très étrange, en effet ses yeux étaient rouge, rouge sang.
« Tes... tes... yeux.. » avais-je bégayé.
Une ride s'était alors dessiné entre ses deux rubis et sans que je ne comprenne quoi que ce soit je me retrouvais plaquée contre un mur alors qu'une douleur se fit sentir dans mon bassin.
« Jade tu me fais mal ! » m'étais-je écriée.
Et là il prit un air féroce. Un air que je n'avais jamais vu puis il me sourit moqueur. Il y avait tant de mépris dans son air que je sentis un pincement.
« J'ai été négligeant ma jolie il semblerait que tu ais tout de même quelque chose qui m'attire... enfin au-delà de ton sang. »
Il s'était mit à rire aux éclats, et alors que tout défilait dans ma tête il s'était jeté sur moi. Cependant la porte s'était ouverte et mon père était entré. Mais je n'arrivais pas à me concentrer sur ce qu'il se passait tant la douleur s'était emparée de moi. J'avais l'impression de brûler vive, tant que je n'arrivais à étouffer mes cris du moins jusqu'à ce que je me sentis sombrer...

A suivre...

Je me sentais étrange, j'avais toujours cette impression de bruler vive mais ça s'estompait peu à peu, ça faisait bien quelques heures que j'avais cessé de crier, du moins c'est ce que je pensais car je n'avais pas une réelle notion du temps et il m'était impossible de le demander tant j'étais obnubilée par mon mal. Je ne savais pas quoi faire, étais-je morte ? Pourquoi me parlais-je donc à moi même ? Voilà quelles étaient mes premières questions. Puis tout à coup je sentis quelque chose... Une odeur alléchante, si alléchante que tout me dictait de la suivre... Je ne savais pas si je pouvais la suivre mais j'en avais tant envie que je finis par ouvrir les yeux, me relever. Elle venait de cet homme allongé à mon côté. Et sans comprendre ce qu'il se passait je lui sautais dessus et mes dents entrèrent dans sa peau alors qu'un liquide s'infiltra dans ma bouche, puis dans ma gorge. Une fois que plus rien ne sortit de ce corps, je l'avais éjecté jusqu'à ce que le visage s'imposa à moi... Ce visage me semblait familier. D'un coup une seconde odeur alléchante se fit sentir, j'avais oublié tout l'intérêt que j'avais pu porter sur cet homme et me concentrait sur ce nouveau met. Puis je le vis entrer dans la chambre, du moins ce qui semblait être une chambre. Je ne savais pas pourquoi je savais que ça l'était, mais je le savais. Et il jeta alors un air horrifié au corps qui était à terre.
« Venezia ! Qu'as-tu fais à papa ? »
Je le regardais intriguée et me jetai tout de même par instinct sur lui.. Mes dents entrèrent alors avec facilité sur sa peau mais je fus interrompue. Plusieurs personnes armées s'étaient approchés et apeurée j'étais partie par cette masse humaine, j'avais fuis.

à suivre...

. v i e . v a m p i r i q u e .

1782

Voilà cinq ans que je suis ce que je déteste le plus : un monstre, un vampire. Certes la période la plus difficile a été la première année, je ne voyais que le sang, je ne sentais que le sang, je n'existais que pour cela. Ça m'obnubilait et après quelques mois lorsque j'ai commencé à avoir des moments de lucidité si je puis dire j'ai eut beaucoup de mal. Maintes et maintes fois j'ai essayé de mettre fin à mes jours, en vain comme vous pouvez l'imaginer... Mais c'était extrêmement difficile, en fait j'avais l'impression d'être atteinte de schizophrénie. D'un côté cette Vénézia qui me dictait de ralentir la cadence et de l'autre celle qui voulait toujours et encore tuer. J'ai essayé de vivre dans des endroits isolés pour diminuer la tentation mais les pertes humaines alertées bien trop vite les habitants et ça les permettaient bien trop à me suivre. J'ai donc fini par retourner dans les grandes villes. J'étais une solitaire et bien que ma beauté attirée bien des vampires je n'étais pas intéressée. Seul le sang m'intéressait et même après quand j'arrivais à mieux me contrôler, je n'avais pas envie de m'encombrer d'un homme.

1787

Un jour, à peu près sept ans après ma transformation j'ai croisé mon frère. Je ne m'y attendais, je pensais l'avoir tué et même si je l'avais abandonné, il s'était transformé et s'était retrouvé dans la même situation que moi. M'en voulant je lui avais proposé de faire en quelque sorte équipe, il n'a rien voulu savoir et m'a dit qu'il ne voulait plus rien avoir avec moi. Je n'avais à l'époque pas tout à fait recouvrer mes sentiments, j'étais donc un peu perdue. Partagée entre d'un côté ma culpabilité, mon dégout de ce que j'avais fait ainsi que mon envie de me faire pardonner et de l'autre mon insensibilité et mon égoïsme. Malgré tout je l'avais laissé partir sans rien dire.

1873

Peu à peu j'avais finis par me diriger inconsciemment vers l'Italie, mon pays natal. Je ne savais pas pourquoi mais j'avais le besoin de retourner là où tout avais commencé. Je m'étais bien entendu faite discrète, même si tous ceux que j'avais connus autrefois avaient perdus la vie, je ne me sentais pas spécialement bien ici. Mais j'avais secrètement espéré que Alexander avait lui aussi l'idée de retourner ici. Malheureusement deux ans plus tard, j'avais fini par abandonnée l'idée de le retrouver. C'est donc ainsi que j'avais atterri à Volterra. J'étais toujours aussi perdue et lorsque j'avais entendu parler des Volturi et de leur pouvoir j'avais tout de suite pensé à ce qu'ils pourraient faire pour moi. Mais la 'vie' m'avait toujours réservée des surprises et cette fois c'en était une bonne.

1875

Cette surprise portait le nom d'Alec Volturi. Beau, jeune enfin physiquement jeune, intelligent puis surtout extrêmement gentil avec moi. Dès le premier coup d'oeil j'étais de suite tombée sous son charme mais lorsque j'ai appris à le connaître et que des liens se sont créés je suis tombée éperdument amoureuse de ce jeune homme. A l'époque nous jouions à un jeu dangereux : le jeu du chat et de la souris. Nous étions amis mais cette amitié était en phase d'être améliorée du moins c'est ce que je pensais. Et il y avait de quoi... Je le charmais et il me charmait de ce lien ne pouvait que déboucher ce que j'attendais de lui mais très vite je m'étais rendue compte qu'en fin de compte nous n'avions pas vraiment les mêmes attentes.

à suivre...

1876, un matin.

Un beau soleil se trouvait dans le ciel, cela annonçait que je ne pourrais pas sortir aujourd'hui. Cela me rendait quelque peu morose mais au moins j'étais sortie cette nuit et j'avais même chassée. C'était un bel étalon, un italien comme il faut qui sentait la virilité à plein nez. J'avais juste battu des cils qu'il se trouvait déjà à mes pieds et me suppliait de le laisser me payer un verre. J'avais bien entendu accepté, j'avais même passé la nuit avec lui pour finalement le vider de son sang. Que j'aimais cela...

Enfin voilà, ça avait été une lplutôt bonne soirée. Ces derniers temps j'avais de nouveaux des rapports avec mes proies pour la simple et bonne raison que ça faisait quelques temps qu'Alec se refusait à moi. Se rendait-il compte de l'importance qu'il avait prit pour moi ? Se lassait-il de moi comme il s'était lassé des autres ? C'était une possibilité, une possibilité qui me donnait une boule au ventre. Certes mon coeur ne battait plus, certes j'étais morte mais cette situation me donnait l'impression d'être meurtrie... un peu comme une seconde mort. C'était à la fois atroce, mais un peu ce qu'était notre relation. Nous nous cherchions pour finalement se refuser l'un à l'autre, et parfois le désir prenait le dessus et nous finissions ensemble. Ce qui arrivait bien trop rarement à mon gout car dans ses bras j'avais l'impression qu'il partageait mes sentiments. Ce que je m'en rendais de plus en plus compte : n'était pas le cas.

Enfin voilà, après cette nuit j'avais tout de même finalement décidé de rejoindre mon ami pour prendre de ses nouvelles. Je savais très bien qu'il avait probablement passé la nuit avec une fille pour la vider de son sang. Et lorsque j'entrai dans son quartier je lançais avec une pointe d'amertume dans la voix.
« Tu n'en as pas assez parfois ? »
Il leva la tête vers moi, pas vraiment surpris de me voir. Il y avait de quoi, il devait réellement avoir l'impression que je lui étais acquise car chaque fois je finissais par retourner vers lui. J'étais plus qu'envoutée par cet homme. Il était devenu mon essentiel et je n'aimais pas cela, pas du tout même. Je finis par avancer dans la chambre tandis que lui s'approchait de moi. Et en deux temps, trois mouvements il se retrouvait sur son lit les bras au dessus de ses épaules et moi au assise à califourchon au dessus de lui.
« Cesses donc de jouer à l'enfant j'en ai assez d'être une parmi tant d'autres. »
Son air montrait qu'il était surpris. Bon signe. Puis il se referma finalement... J'avais compris mais ce qui suivit m'aurait brisé le coeur, si ça avait pu être le cas.
« Très bien tenons-nous en à notre amitié. »
Au moins il avait le mérite d'être clair. Je me relevais donc.
« Très bien oui. »
Puis je partis.

Cette matinée avait été la fois de trop où je me sentais rejetée par celui que je désirais plus que tout. Cette matinée avait été l'événement qui allait me faire faire la plus grosse bêtise de mon existence et ainsi perdre l'être qui m'était aujourd'hui le plus cher.

à suivre...

1880

Quelques instants plus tard après une autre dispute avec Alec au sujet de la relation que nous entretenions je me retrouvais dans le quartier de ma plus fidèle amie chez les Volturi : Heidi. J'avais encore les pensées confuses et j'avais besoin de discuter et mis à part Alec elle était la seule à qui j'arrivais à me confier, la seule en qui j'avais réellement confiance. Une fois à sa porte, je n'étais pas plus certaine de ce que je voulais lui dire...
« Veny ! Alors cette nuit ? Tu t'es trouvée une bonne petite proie ? »
Je lui souris, et hocha la tête pour lui faire comprendre que oui.
« Que se passe-t-il ? »
Comme si ça n'était pas évident... Et lorsque je me sentis prête à prendre la parole elle me devança.
« Alec je suppose... »
Elle me connaissait si bien que c'en était tout de même troublant. Je hochais à nouveau la tête.
« Eh bien justement j'y ai réfléchi. Et si j'essayais de faire changer d'avis Alec ? »
Tout à coup elle avait éveillé ma curiosité.
« Et comment ? »
Puis soudain je compris.
« Non je ne peux pas lui faire ça, il est mon ami avant tout... »
« Très bien comme tu voudras. » avait-elle repris du tac au tac.
Très bien qu'avaient-ils tous avec leur très bien ? Une fois encore, Alec m'avait sorti son éternel « Très bien tenons-nous en à notre amitié ». Mais je savais que finalement, je finirais par revenir vers lui, j'en avais besoin. Et c'est alors que je pensais à ce qu'Heidi venait de me dire ainsi que le mal que me faisait inconsciemment mon meilleure ami que je finis par me dire : Après tout... Ça ne lui ferait pas de mal... Au fond de lui il devait m'aimer un tant soit peu il était juste trop désireux de garder son indépendance pour se l'avouer. Et donc après un moment d'hésitation je finis par casser ce silence qui commençait à se faire lourd.
« Ça ne lui fera pas de mal ? Il ne s'en rendra pas compte ? Assure-le moi s'il-te-plait... »
« Bien sur que non, personne ici ne s'en rendra compte. Puis mon don ne fait pas de mal, je suis douce que crois-tu ? » me lança-t'-elle en pouffant ensuite.

Et voilà, le choix était prit.

à suivre...

1881

J'avais une fois encore tout pour être la femme la plus heureuse du monde, l'homme que j'aimais m'aimait et faisait tout pour exaucer le moindre de mes désirs. Il me gâtait comme personne, me disait ce que j'avais toujours rêvé d'entendre de sa bouche et me comblait en tout point. Malgré tout j'avais des remords. J'avais l'impression de lui voler cet amour, j'avais l'impression que tout cela n'était que tromperies. Cependant il était trop tard, je ne pouvais pas retourner en arrière sans le perdre. Ce que je ne savais pas c'est que bientôt, je le perdrais et ce sans avoir le temps de me préparer à cela.

C'était un jour comme tous ceux que je passais aux côtés d'Alec : un jour heureux. J'avais beau avoir des remords, je n'arrivais pas à ne pas apprécier ce qu'il m'offrait. Nous avions passé toute la journée dans son quartier qu'il disait être notre puis nous avions finalement décidé de nous séparer un peu pour faire notre devoir social et aussi pour me apprécier encore nos retrouvailles. J'étais partie voir Heidi qui semblait très embêtée. J'essayais de savoir pourquoi mais rien, elle était plongée dans un mutisme profond qui commençait à m'inquiéter. Je finis par la quitter bel et bien préoccupée.

Puis vint la nuit profonde et je décidais d'aller chasser. Aro avait exigé que Jane m'accompagne. J'avais accepté en me disant que décidément ils étaient tous étrange en ce jour mais avait décidé de ne pas trop me miner. Après tout que pouvait-il bien arriver de si grave ? J'étais tombé sur un homme et sans que je n'ai à faire quoi que ce soit il s'était jeté dans « la gueule du loup ». J'avais donc sauté sur l'occasion tandis que Jane elle, avait été le pire cauchemar d'un jeune couple fraichement mariée... Elle ne changerait jamais c'était certain... Puis sur le chemin du retour elle me lança narquoise.
« Au fait je suis chargée de te dire que prochainement tu perdras Alec »
« Pourquoi dis-tu ça ? Alec m'aime.. »
« Alec t'aime grâce au don d'Heidi. Et Alec doit partir en mission pour cela Marcus a décidé de le libérer... Enfin... »
J'avais envie de crier ma peine, car oui ça me faisait mal car je savais que se préparait un drame. Mon drame. Mais je n'en fis rien et me contenta de rentrer et de préparer mes affaires.

à suivre...

Voilà le jour fatidique était arrivé, j'attendais avec impatience Alec. Je savais ce qui m'attendais et j'étais terrifiée mais je devais faire face à mes choix. Ça avait été un doux rêve, un peu trop court mais c'était ainsi toutes bonnes choses avaient une fin et là était la fin de mon rêve... Il était temps de me réveiller. Puis d'un coup je le sentis venir et lorsqu'il entra dans la pièce, l'atmosphère devint glaciale.
« Je... je ne voulais pas. Je suis désolée. J'ai été prise à mon propre piège, j'étais juste... juste amoureuse.»
« Et moi je te déteste Venezia ! »
Une boule monta à ma gorge, si j'avais pu j'aurais éclatée en sanglots mais je la ravalais.
« Au lieu de réagir ainsi détruis-moi ! Tues-moi ! Je ne suis rien sans toi... Je ne pourrais pas. » m'étais-je écriée.
« Je ne veux rien savoir et ne compte pas sur moi pour te faire ce plaisir. Je ne veux plus rien avoir avec toi. Plus rien ! Jamais ! »
Et c'est ainsi que j'étais partie laissant mes affaires sur son lit. Et laissant aussi mon coeur avec lui car il lui appartenait à jamais... je le savais.

2014

Cent trente-trois ans. Cent trente-trois ans à vivre seulement d'aventures d'un soir et de sang. Cent trente-trois ans à regretter mon choix. Cent trente-trois ans à réfléchir à un moyen pour me faire pardonner et a finalement ne pas avoir le courage de le rejoindre afin de récupérer mon ami et mon amant, ma moitié, mon coeur, mon essentiel. Mais lorsque j'ai su qu'il était sur le continent américain je me suis dis que c'était un signe alors que j'avais moi-même en projet de m'y rendre. Une terre neutre, quoi de mieux pour essayer d'arranger nos problèmes ? Je l'espérais...

N'est-ce pas là ma superbe ex meilleure amie?

Welcome et merci de ton inscription, surtout sous les traits de la sublime Blake. Si tu as la moindre question, je suis à ton entière disposition tout comme le staff au complet ; ) n'hésite pas à venir me voir si tu as des questions à propos du scénario et je te remercie du fond du coeur de l'avoir prise =)

J'oubliais presque mais je te souhaite également bon courage tout en étant plus qu'impatient de lire ta fiche ::39::

bienvenue sur le forum ^^
et bonne chance pour ta fiche ::11::

Youuuuhouuuuuuu quel accueil

Merci tous les deux (aa)

Ah et en fait j'ai déjà une question pour toi SexyAlec : Dans ton idée de Venezia a-t'elle un don ?

Merci d'avance pour ta réponse ::21::

Mais je suis à ton service beauty

J'avoue ne pas avoir réfléchit à ce point donc je te laisse le soin de trouver un don qui je suis certain t'ira à merveille ; )

Euuuuh j'ai un petit (gros) soucis j'ai édité mon message pour continuer un peu ma fiche et tout s'est envolé ::9::

Bon pas trop grave j'ai le début de la fiche mais pas ce que j'avais ajoutée... Braipheuh. je fais comment ?

mais qu'est-ce qui se passe avec ce bouton... ça fait deux fiches en une demi heure

et bien tu repostes je ne vois pas d'autre solutions et moi je vais chercher le problème --'

Non mais en fait ça sert à rien XD
C'est un bug forumactif j'ai le même soucis sur mon forum :/

et bien je suis soulagé de savoir d'où vient le problème. Espérons que ça passe rapidement

Vénézia, ta fiche est elle terminée?

Pratiquement je suis entrain de faire ma partie vie vampirique ::23::

Fiche terminée ::1::

Bon la fin est pas top, mais je'espère que ça vous plaira tout de même
::14::

Pas top? Je suis amoureux de ta fiche je l'ai lu au fur et à mesure et j'ai adoré les épisodes et toutes les anecdotes. Non franchement je n'hésite pas une demi seconde à te valider ; ) surtout que tu as parfaitement cerner le personnage, c'est tout à fait ce que je désirais.

Perfetto =)

Ahhhhhhhhhhhhhh *0*
Merci, merci, merci ::20::

Alice me vuaaaalaaaaa ::25::

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